Ezilabeth II est mrote !
Le grachin me subgerme et le lrames bourillent my eyes.
Kesssissé passé ? L’aut’ morning elle a çeru the new first minister Thatcher II et elle lui a dit :
« Good, aïe t’adoube de par mon voupoir Royal qui me vient de l’aut’,
là-haut. Mais fais gaffe aux Frogs, aux Ruskoffs et aux Chintoks ».
Accrodez moi une nimute que je me recéziss.
Sniff !
Sniff !
Sniff !
Sniff !
Sniff !
Merci. Donc, la classe politico-médiatique française fera silence sur les méfaits des royautés : leur folklore suranné, leur insulte à l’intelligence, leur négation de l’égalité, leur fortune volée, leur fonction prévaricatrice.
Il ne sera rien dit en éloge de la République. Et pourquoi ? Le 8
juillet 2015, dans un interview à l'hebdomadaire « Le 1 », Emmanuel
Macron avait donné le la : « La démocratie comporte toujours une
forme d’incomplétude, car elle ne se suffit pas à elle-même. Il y a
dans le processus démocratique et dans son fonctionnement un absent.
Dans la politique française, cet absent est la figure du roi, dont je
pense fondamentalement que le peuple français n’a pas voulu la mort. La
Terreur a creusé un vide émotionnel, imaginaire, collectif, le roi n’est
plus là ! » .
Théophraste R. Auteur des best-sellers en gestation : « Fauchée à la fleur de l’âge alors qu’elle s’apprêtait à marcher sur l’eau » et « Heureusement, il nous reste Bachelot pour porter des tailleurs fluos ».
Le Grand Soir
(1) En liaison avec le titre, c'est nous-mêmes qui nous sommes permis d'appliquer des caractères gras au dernier paragraphe de l'article. Ajoutons encore qu'en 2015, Macron (puisqu'il s'agit de lui) n'avait pas encore rejoint la rampe de lancement de ses ambitions ultimes, mais que son potentiel était déjà complet : depuis, on connaît ses multiples 'sorties' dont on ne retient ici que la plus polémique sur le grand soldat Pétain... Epargnons-nous le florilège complet...
J.P. C.
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