DIRECT. Législatives 2022 : Martine Aubry appelle le Parti socialiste à valider l'accord avec La France insoumise
Le projet d'accord, qui divise fortement les socialistes, doit être soumis à un conseil national du PS dans la journée.
Martine Aubry, la maire socialiste de Lille, a apporté son soutien au projet d'accord entre le PS et LFI, dans un communiqué publié sur Twitter, jeudi 5 mai. Le projet, qui divise fortement les socialistes, doit être soumis à un conseil national du Parti socialiste dans la journée. Cette figure socialiste fait cependant part de ses réserves sur un texte qui "ne correspond pourtant pas en tout point à (ses) convictions profondes", avant d'ajouter : "Comme tout accord pour s'opposer à la droite et à l'extrême droite, il implique que chacun fasse des pas vers l'autre". Suivez notre direct.
Gérald Darmanin annonce sa candidature dans la 10e circonscription du Nord. Le ministre de l'Intérieur a déjà été député de cette circonscription de 2012 à 2016, sous les couleurs de l'UMP.
Bruno Le Maire annonce qu'il ne se représentera pas. "J'ai toujours dit que je ne ferai pas plus de trois mandats. Je respecte mes promesses", a déclaré le ministre de l'Economie et député de la 1e circonscription de l'Eure, lors d'une conférence de presse.
"Il n'y a pas de soumission aux 'insoumis'", assure Olivier Faure. "Aujourd'hui, la gauche a besoin de se rassembler pour pouvoir gagner", a déclaré le Premier secrétaire socialiste pour défendre l'accord en discussion entre le PS et LFI, sur BFMTV et RMC, jeudi. Il a aussi rappelé que "le vrai Parti socialiste a accepté, dans son histoire, d'être un parti qui bousculait, a accepté l'idée d'aller vers une forme de radicalité", avec des réformes comme les 35 heures ou les congés payés.
Emmanuel Macron valide les noms des premiers candidats LREM aux législatives. La première liste, qui comporte 200 à 250 noms, doit être rendue publique jeudi, selon les informations de franceinfo. Une deuxième salve arrivera dans les jours suivants.
(1) ..... cependant que Macron doit, toujours, faire face à des "problèmes d'ego en coulisses" (cf. article en renvoi). Il doit être, pour la première fois, modeste : sa majorité va fondre et selon les sources de son entourage, malgré les débauchages auxquels il se livre sans scrupules, principe de réalité oblige, il essaie d'éviter de construire "un château de cartes qui peut s'effondrer au moindre coup de vent"... Dur, dur...
J.P. C.
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